I’m not doing this because I want to beat someone, because I hate someone, or because I want to blame someone. I do what I do because it’s right! And above all, it’s kind! It’s just that… Just kind.
J'étais tellement épuisé, je ne dormais plus la nuit et ça depuis beaucoup trop longtemps. Je ne travaillais plus, je n'avais qu'une idée en tête, retrouver celui qui avait tué ma petite soeur. Cet homme avait réussi à ne pas être condamné à cause d'un vice de procédure ce qui me mettait encore plus en colère. Comment il pouvait être encore en liberté alors qu'il avait pris la voiture après avoir trop bu et il était rentré dans la voiture de ma petite soeur qui elle rentrait du travail, elle n'avait rien demandé et malheureusement cet homme lui avait enlevé sa vie. Et depuis ce jour je n'arrivais pas à vivre, j'avais déjà perdu ma mère donc maintenant ma soeur je n'avais plus personne. De toute façon depuis les dix dernières années il m'arrivait que des malheurs, entre mon mariage qui était tombé à l'eau, la mort de ma mère, cet homme qui je pensais être ranger et non encore une fois une déception. De toute façon ma vie était une déception donc je n'avais plus rien à perdre.
J'étais devant la maison de cet homme, il était tard le soir, la nuit était déjà tombé et surtout le froid. Normalement je devrais avoir froid, mais non, j'étais en colère et je voulais lui montrer à quel point il m'avait fait souffrir en m'enlevant ma soeur, la seule qui m'aidait à prendre le bon chemin, qui avait été là pour moi le jour de mon mariage. Maintenant je n'avais plus personne, je voulais qu'il voie la souffrance dans mon regard, mes larmes. Je sais que je risquais de finir en prison voir pire, mais je m'en fichais, je n'avais plus rien à perdre. Pour moi la vie n'avait plus d'importance, j'avais été beaucoup trop sage et innocente, donc autant prendre des risques et là j'en prenais un gros. Je sentais cet objet lourd dans ma main alors que mon regard était fixé sur cette maison, heureusement il n'y avait personne dans la rue. Mon avenir allait se jouer maintenant.
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La haine, la colère, la solitude et surtout la tristesse est un mélange des plus explosifs surtout pour une femme qui n'a plus rien à perdre. Donc oui je sais que ce n'était pas une bonne idée d'être là mais je n'avais pas d'autre choix, cet homme vivait encore à l'extérieur d'une prison, il avait tué et pourtant il respirait encore. Je voulais me venger s'en était trop pour moi je n'en pouvais plus de toute cette souffrance qui me hantait et surtout toutes ses questions. J'avais 34 ans et pourtant j'avais fait honte à ma famille, ma mère qui pensait me marier avait fini par se rendre compte que j'étais qu'une femme qui venait de se faire tromper par son fiancé, que jamais je ne lui apporterais d'enfants et maintenant ma soeur, il ne me restait plus rien, ni famille, ni amour. Les hommes que j'avais osé aimer m'avaient tous les deux abandonnés, plus jamais je n'aimerais qui ce soit, à quoi bon vu qu'au final j'en souffrais à chaque fois. Peut-être que je ne méritais pas l'amour après tout vu que je venais aussi de perdre ma famille. Donc oui j'allais tuer cet homme, du moins lui faire du mal. Cette arme à ma main semblait si lourde et pourtant si petite comme quoi le contraste était surprenant. La lourdeur venait surtout de la culpabilité qu'on pourrait ressentir ensuite. Mais je m'en fichais, si je devais risquer ma vie où en mourir, je m'en fichais je n'arrivais plus à réfléchir, je souffrais tellement que mon cerveau ne trouvait plus de raison d'être. Je sentais le vent passé sur mon visage et cette distance entre cette maison et moi se rétrécir de plus en plus du moins dans mes pensées car en aucun cas je n'avais bougé. Je ne me rendais même pas compte de ce qui se passait autour de moi, tout était si calme dans ma tête comme si que j'étais dans ma bulle sans personne pour venir me perturber et pourtant ce n'étais que dans ma tête. Il était là près de moi et d'un coup j'entendais sa voix, je faisais un sursaut en arrière en venant me retourner alors que d'un coup mes mains venaient se relever et cette arme était pointer vers lui. Je ne sais pas si c'était un réflexe ou la colère qui prenait le dessus. Je venais lui envoyer un regard noir, comment osait-il me dire ce que je pouvais faire ou non. Je devrais avoir peur, Cesare était policier et en service ce soir, donc à il pouvait m'arrêter, mais au fond de moi je m'en fichais pas mal. " Tu as perdu ce droit de me dire ce que je dois faire ou non Cesare il y a 10 ans. " Rien que de prononcer son prénom me faisait encore plus de mal. Cet homme était là en face de moi, j'avais tout fait pour l'éviter, ne pas le croiser et maintenant il était là comme si que rien ne c'était arrivé. " Va-t'en Cesare. " Je voyais cette scène, moi en train de braquer une arme sur lui, j'avais appris à ne plus ressentir cette haine envers lui-même si elle avait toujours cette petite place en moi. Je venais baisser mon arme en me dirigeant vers la porte qui était encore à quelques pas.
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Au fond de moi je sais que ce je suis en train de faire n'est pas bien et peut avoir de lourdes conséquences. Mais mon cerveau n'est plus en état de réfléchir et encore moins de prendre de bonne décision. J'ai beaucoup trop souffert ses dernières années et la perte de ma soeur était ce qui avait de pire pour moi, c'est elle qui avait été lors du mariage, qui m'avait aidé à remonter la pente alors que je n'avais plus envie, elle avait toujours été là pour moi autant dans les bons que les mauvais moments. Donc là me retrouver toute seule c'était juste impossible et c'était pire de voir dans quelles conditions cela c'était déroulé. J'en voulais à la terre entière et encore plus aux forces de l'ordre qui ne faisait rien, eux ils ne pouvaient pas ressentir toute cette souffrance qui me hantait, ils s'en fichaient complètement et je ne comprenais pas comment on pouvait être autant sans coeur. Donc j'irais prendre ma revanche toute seule et voilà pourquoi j'étais devant cette maison avec une arme à la main, je ne sais pas si j'allais m'en servir, mais j'étais tellement en colère. Cette soirée était une énigme pour moi, jeune savais pas du tout comment elle allait se dérouler. Il y a bien une chose à laquel je ne m'attendais pas, c'était de me retrouver face à Cesare et ses retrouvailles ne se déroulaient pas comme j'aurais pu l'imaginer. J'étais face à lui, une arme braquée sur lui et pourtant je savais bien que je ne lui tirerais pas dessus. J'entendais ses paroles qui essayaient de me convaincre de ne pas faire ça, des mots qui ne me faisais pas réagir, je n'arrivais plus à raisonner. " Je ne sais pas ce que je ferais, mais je vais lui faire comprendre cette souffrance en moi... Tu ne peux pas comprendre. " Je n'avais pas envie d'avoir une discussion avec lui, je voulais me retrouver toute seule face à cet assassin. Je me dirigeais vers la porte, j'étais dans ma bulle et je n'avais plus envie que Cesare en fasse partie. Je me rendais qu'il était aussi têtu que moi en fin de compte, je soupirais alors que je venais relever les yeux vers lui. " Je n'ai plus rien à perdre Cesare." Je continuais de le regarder dans les yeux, dix ans s'était écoulé et pourtant il était toujours cet homme que j'avais aimé. Ce regard inquiet, celui qu'il avait quand inquiétude le gagnait à mon propos. Avant il aurait eu de l'influence, mais dans ma tête j'essayais de me persuader qu'il n'avait plus le droit d'être dans ma vie. Je ne sais pas si ses paroles devaient m'apaiser ou au contraire me mettaient encore plus en colère et là colère prenait le dessus, je me mettais à crier contre lui. " Arrête... Arrête de dire ça... C'est terminé il peut vivre libre alors qu'il m'a enlevé la seule personne qui me restait dans ma vie à cause de preuves qu'il n'y a plus. Ne dis pas des paroles que tu ne tiendras pas ...Arrête..." J'en avais marre qu'on me donne de l'espoir alors que c'était juste des paroles en l'air. Je ne me rendais même pas compte des larmes qui coulaient tout seul sur mon visage. J'accumulais depuis trop longtemps et me retrouver devant Cesare n'aidais pas. " Et alors... Je ne manquerais à personne. " Je venais plonger son regard dans le sien, je ne faisais plus partie de sa vie, donc pourquoi est-ce qu'il aurait de l'influence sur moi, peux être parce qu'il avait été important pour moi dans ma vie mais je ne voulais pas le lui montrer.
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Je ne sais pas pourquoi mais entendre la voix de Cesar avait un effet sur moi, cet effet qui me faisait revenir sur terre pour la première fois depuis longtemps. Cette voix que j'avais essayé d'oublier, vivre sans cet homme que j'avais aimé, qui avait eu un impact sur ma vie et encore aujourd'hui, Cesar me manquait mais c'était dur de me l'avouer et pourtant ce soir il était bien là. Il n'avait pas appelé ses collègues pour m'arrêter et surtout il faisait tout pour m'empêcher de prendre la mauvaise décision. Et pourtant il avait toutes les raisons de me laisser tomber, j'avais braqué quand même mon arme sur lui. Mais pourquoi est-ce qu'il cherchait encore à me protéger alors que je n'étais plus rien pour lui, je n'étais plus sa fiancée et encore moins sa petite amie, juste une ex. Je ne sais pas pourquoi je ressentais cette colère en moi qui était de plus en plus grande. Peut-être parce que depuis notre fameux mariage, j'avais tellement accumulé encore et encore que maintenant c'était trop. Même si au final mon malheur n'était pas qu'à cause de lui, c'était juste une accumulation et là j'explosais. J'étais en train de me demander si j'allais réussir à revenir sur terre, j'en voulais à la terre entière et là c'était Cesar qui encaissait toute cette colère et quand on y réfléchissait, jamais je ne lui avais dit ce que je pensais de lui ou encore cette colère que j'avais envers lui, donc c'était peut-être le moment, surtout si je prenais autant de risque. " Pourquoi tu ne veux pas que je rentre dans cette maison ? Pourquoi dit moi? " Je voulais savoir pourquoi il cherchait à me protéger alors que je n'étais plus rien pour lui. S'il faisait vraiment son travail de policier il m'aurait arrêté depuis bien longtemps sans chercher à parler. Donc je voulais qu'il me dise le pourquoi du comment même si au fond c'était juste en train de m'énerver car après dix longues années de silence total il osait me donner des ordres. Et voilà qu'il venait hausser le ton, alors là ce n'était pas la bonne solution car cela m'énervait encore plus. Entre nous ça avait toujours été comme ça de toute façon, c'était notre réel problème, on criait avant de parler et c'était surement ça qui avait mis fin à notre couple, cette communication qu'il n'y avait pas et c'était encore en train d'arriver à nouveau. Il osait me faire une promesse alors qu'il n'avait même pas su tenir celle du mariage, je n'avais plus envie de l'écouter et encore moins le croire. Je fermais les yeux alors que j'entendais ses paroles, mais pourquoi est-ce qu'il avait encore tant d'influence sur moi, pourquoi ses paroles me touchais et surtout arrivais à me convaincre de faire marche arrière? Je n'en pouvais plus, je ne savais plus du tout quoi faire, je ressentais juste cette souffrance en moi. Les larmes coulaient toutes seules le long de mes joues alors que je ne savais plus quoi lui répondre. Je le sentais m'attraper par les épaules en me faisant face , mon regard venait se noyer dans le sien alors que pour une fois je restais silencieuse, j'étais tellement épuisé à la fois physiquement que psychologiquement. " Tu peux me dire à qui je manquerais? " J'étais curieuse et mon regard se tournais vers les voisins, pour une fois il n'avait pas tort, ce soir il avait su trouver les bons mots mais ça n'enlevait pas cette souffrance qui me hantait. Je venais ranger cette arme dans mon sac, au moment où elle tombait dans mon sac, je ressentais comme un poids en moins, c'était si lourd. " D'accord... Pas ce soir..." Je finissais par faire un pas en arrière alors que je m'éloignais de cette maison mais mon regard restait fixé dessus alors que je passais une main sur mon visage pour essuyer les larmes. " Tu as fait ton travail ce soir... Mais c'est terminé, je n'ai pas envie que tu viennes venger ma soeur, tu es flic ce n'est pas ton rôle..." Je soupirais alors que mon regard venait se poser sur Cesar, les bras croiser je l'observais. Il avait changé en dix ans et pourtant je m'étais toujours perdu dans ce regard qui me faisais chavirer à chaque fois. Cette situation était tellement étrange, je ne l'avais jamais imaginé comme ça et maintenant je ne savais plus quoi faire. De toute façon j'étais incapable de réfléchir.
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Je lui posais des questions et pourtant je connaissais ses réponses, je sais bien qu'il ne voulait pas retrouver mon corps criblé de balles juste parce qu'il n'avait pas réussi à me convaincre. Même si je lui en voulais pour ce qu'il m'avait fait, je sais que je serais malheureuse si j'apprenais qu'il c'était fait tué. Ses réponses étaient brusques, il était en colère je le lisais bien dans son regars si noir qu'il avait envers moi. Je n'étais plus la même Iris qu'avant, plus la belle pétillante heureuse d'avoir trouvé l'amour de sa vie. Non d'un coup tout était tombé à l'eau à cause d'une femme qui avait mis fin à mon mariage et de mon fiancé qui n'avait pas su se contenter de moi comme femme. Il n'avait pas tort dans ses paroles en tout cas, je sais que si je rentrais dans cette maison je risquais de mourir, mais je n'arrivais plus à me raisonner. Depuis quelques jours j'avais fait un résumer de ma vie et ce n'étais pas beau à voir, entre ses idées noires et la fatigue, je n'arrivais plus à prendre la bonne décision. Cette maison m'appelait et surtout la vengeance et pourtant la présence de Cesar me ramenait sur terre, je m rendais compte que même après tant d'années il était toujours là quand j'en avais besoin. Mais pourquoi la vie me réservait ce genre de surprise. Pourquoi est-ce que Cesar était là, après un tel silence. Sa présence me faisait à la fois du bien et du mal, je me noyais dans ses yeux, sa main qui me retenait me procurait comme un réchauffement. C'était lui qui redonnait gout à ma vie mais je ne voulais pas m'y attarder car je savais très bien qu'après cette soirée, il allait redevenir un fantôme comme avant. Je me rendais compte que mes questions devenaient comme des appels au secours, surtout quand je lui demandais à qui j'allais manquer si je disparaissais. Le voir en face de moi faisait revenir tellement de questions, est-ce que je lui manquais? Est-ce qu'il regrettait ce qu'il avait fait? Était-il encore avec Louve? Je venais le reconnaitre quand il me disait que je manquerais à un blond qui avait pris de l'âge. Son ton venait de se radoucir et ça arrivait à en faire autant avec moi. Je venais soupirer alors que je passais une main sur mon visage, je lui manquerais, est ce que cela avait un effet sur moi? La réponse était oui car je venais ranger l'arme dans mon sac. "Oui ton travail de flic, même si je sais très bien que tu as réagi différemment avec moi..." Ce n'était pas facile de le remercier car au fond de moi je lui en voulais quand même. Je finissais par lui tourner le dos prêt à m'en aller, je n'allais pas rester ici plus longtemps. Je sentais une brise d'air froid et je commençais à être frigorifié. Et voilà que Cesar me faisait une autre demande, je me retournais pour le regarder en soupirant. " Cesar... Tu..." J'allais lui dire qu'il n'était pas obligé, mais il reprenait son ton autoritaire. " D'accord. " Je me rapprochais de sa voiture en venant monter dans la voiture et aussi surprenant soit-il, je sortais l'arme pour la poser sur le siège arrière. Je préférais la lui laisser pour ne pas faire une nouvelle bêtise. Cette situation était vraiment étrange et je ne savais pas du tout quoi faire et encore moins quoi dire.
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Je n'arrivais pas à être gentille avec lui, même si cela faisait 10 ans maintenant qu'on ne s'était pas vu, j'avais encore toute cette rancoeur et colère au fond de moi. Et quand on rumine ça pendant de longues années, normal qu'une fois en face de lui je sois encore en colère. Je savais très bien qu'il venait de m'aider et que si ça avait été un autre flic, je serais déjà en garde à vue avec une plainte contre moi. Alors que là, il me proposait de me ramener chez moi, aucune plainte et surtout je n'avais pas fait de bêtise que j'aurais pu regretter. J'étais tellement fatigué, je serais bien rentré à pied mais je voyais bien qu'il ne m'aurait pas laissé rentrer toute seule chez moi comme ça, peut-être qu'il n'avait pas confiance et il avait surement raison. J'aurais pu me retourner une fois qu'il serait partie. Je finissais donc par prendre mon courage à deux mains et rentrer dans sa voiture, j'hésitais tellement et surtout j'étais mal à l'aise. Je regardais à travers la vite alors que nerveusement je jouais avec une de mes bagues, un tic que j'avais quand j'étais nerveuse. Je ne savais pas du tout quoi lui dire et pourtant je me posais tellement de questions par rapport à lui et surtout j'avais envie d'en savoir plus sur lui, surement la curiosité qui prenait le dessus. Ma tête allait à cent à l'heure, je devais arrêter de faire l'idiote et prendre les bonnes décisions même si c'était dur pour moi. Je finissais par sortir l'arme de mon sac pour le poser à l'arrière, sans arme je ferais moins d'erreurs, c'était un geste réfléchi et je ne le regrettais pas, au moins cette arme allait disparaitre et surtout n'allait pas être utilisée dans un braquage ou autres, pour une fois je faisais confiance en Cesar pour la faire disparaitre. " C'est quoi ce petit sourire? " Et oui j'avais bien vu son petit sourire en coin, je levais les yeux au ciel en soupirant. Qu'est-ce qu'il avait un beau sourire et cela me manquait tellement. "Oui toujours la même adresse. " Lorsqu'on c'était séparé j'avais emménagé dans une autre maison et pour les papiers du divorce il me les envoyait à cette adresse, j'étais surprise qu'il connaisse encore mon adresse. Le silence était pesant et je ne supportais pas ça, c'était peut-être un signe, le moment où on pourrait enfin se parler. " Sinon... Comment tu vas? "Je pouvais lui en vouloir ce n'était pas pour autant que je me montrais sauvage, il venait quand même de me sauver en quelque sorte, donc autant mettre cette rancoeur de côté. "Qu'est-ce que tu deviens après toutes ces années? "
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