cutthroat cuties.

prénom(s) mélodie lascive des syllabes qui se détachent du bout de la langue, elle s'allonge contre le palais pour mieux épouser la douceur d'enola cette noblesse dont tu n'as que le nom, nola pour les familiers aux rictus exquis sous qui tu refaçonnes et te réinventes. Encore ebola par les langues bien pendues qui te désignent virus létal malgré tes airs d'anges déchus. nom Pedraza dont les méfaits se dissimulent dans le mutisme criant des damnés, désillusion limpide qui refaçonne l'indifférence. De la colère sanguinaire à la passion grenat, c'est passer par toutes les nuances pour étouffer et faire tien. âge vingt-six années d'une existence menée sur le fil, dans la vitesse et l'appréhension mordante. tu ne vieillis pas, t'avales les jours, chaque minute de plus prend des airs de victoire pour toi qui avance comme un funambule sur la question de l'avenir. A pile ou face. date & lieu de naissance écrire ici. activité(s) los dios comme unique bannière tes songes recolorés au sang de vos ennemis, sempiternel loyauté pour le cercle intérieur tu demeures d'une défiance inusité pour tout autre : Everyone who isn't us is an enemy. Princesa de naissance t'es le murmure constant qui s'affaire à calmer ou attiser les nerfs du suprême sur le trône rougi par les pêchés de vos pairs, spectre fidèle sur son bras droit au jugement souvent sans appel, tu demeures les yeux et les oreilles du python. état civil philharmonique de mauvais présages escarpant l'ivresse amoureuse. Tu t'adonnes sans te perdre, la préservation de l'autre dans l'absence de sentimentalisme : « L'amour est un oiseau rebelle », le rendre mièvre te mortifie. T'as besoin d'orages, d'ouragans pour te faire trembler ; revenir au temps d’Erec et Enide. A l’amour selon Chrétien de Troyes. L'amour et ses mystères, ses effleurements, ses soupirs, ses douleurs enchantées, ses baisers volés et la haute idée de l’autre dont on arbore le cœur au bout de sa lance. Tu picores et déchires, escarpes par ennui mortel. préférence(s) sexuelle(s) l'art de ne pas choisir. T'ériges les Apollon comme divinité absolue le temps d'une nuit, te pliant sous leurs caresses mais plantant tes c r o c s dans leur jugulaire, tu t'embrases sous leur touché car l'habitude certaine est le plus doux des vices. De la virilité brutale tu es ressortie martelée, des plaies béantes qu'ils prennent plaisir à rouvrir sans cesse. Dégoûtée et repue tu t'es tournée vers la douceur des lunes, leur poitrine comme temple tu t'y réfugies plus volontiers, elles t'ont appris que l'amour avaient quelques vertus.. situation financière écrire ici. situation familiale écrire ici. croyance faucheuse aux allures festives dans sa traîne se tarissent les plaisirs coupables confinés aux extrémités de l'éphémère existence. On t'as appris à croire à la Suprême de l'inframonde celle qui règne sur les inanimés, un regard de velours gardant l'inviolable dépouille. Désignée par les contemporains comme « Lady of Dead » ou encore « Santa Muerte », toujours honorée chaque année durant le Jour des morts. Traversant les âges nul ne saurait flétrir la Mort, t'as évolué à ses côtés, sublime compagne nocturne qui accompagnait ton paternel et ses acolytes au delà du crime. régime alimentaire plutôt carne ou vegan lover ? caractère écrire ici au moins 5 qualités et 5 défauts. groupe écrire ici. avatar écrire ici.